Affaire Mme L.V : accident grave, handicap lourd.
1ere offre indemnitaire : 2 Millions 800 000 euros.
Somme obtenue par l’avocat : 4 Millions 500 000 euros dans les Hauts-de-France.
Résumé de la négociation :
Avant avocat : 1 million envisagé
Après expertise avec avocat et équipe : 2 millions 800 000
Après négociations avec avocat : 4 Millions 500 000
Qui est la victime ?
Voilà une jeune femme pétillante, pleine de vie. Mme L a la vingtaine. Il y a quelques années, passagère d’un véhicule, elle a été victime d’un grave accident de la route. Après plusieurs mois de rééducation, elle apprenait qu’elle ne remarcherait pas.
Très rapidement, l’assurance de la partie adverse prenait contact avec elle. Une gestionnaire d’assurance. Sympathique. Prévenante. Aux « petits soins ». Évidemment, il lui était dit qu’un avocat n’était pas nécessaire. Qu’elle aurait une indemnisation à 6 chiffres.
Oui mais voilà…. Après une première expertise décevante, et une provision ridicule, Mme L.V contactait Maître Régley, avocat indemnisation, conseillé par plusieurs professionnels du centre de rééducation qu’elle avait fréquenté.
Ce que l’avocat de votre indemnisation a apporté ?
Très rapidement après une première prise de contact au téléphone pendant le confinement, une rencontre était organisée avec la victime, son compagnon et ses parents.
Ceux-ci disaient à Maître Régley, avocat préjudice corporel, qu’on leur avait « promis » une indemnisation pouvant aller jusqu’à 1 millions d’euros.
A la lecture de la première expertise, Maître Régley expliquait que plusieurs postes de préjudice de la nomenclature Dintilhac n’avaient pas été vus. D’autres avaient été minimisés.
Votre avocat en indemnisation des victimes de la route proposait alors à Mme L.V de rencontrer un médecin conseil et un ergothérapeute travaillant en étroite collaboration avec le Cabinet.
Rapidement, une provision de 100 000 euros était obtenue de l’assurance qui expliquait à l’avocat en indemnisation du préjudice corporel qu’il n’était peut-être pas nécessaire de se faire accompagner par un ergothérapeute, celui désigné par la compagnie « suffisant ».
Après avoir préparé l’Expertise, tous les professionnels de santé et Maître Régley se rendaient au rendez-vous. Tous les postes de préjudice Dintilhac étaient passés en revue. Sans exception.
Le médecin de l’assurance ne voulait pas acter une perte de gains futur. Nous l’avons obtenue.
Le médecin de l’assurance ne voulait pas mettre autant d’heures d’aide humaine. Nous avons obtenu ce que nous voulions.
L’ergothérapeute de l’assurance ne voulait pas des fauteuils que nous souhaitions. Nous les avons obtenus.
L’ergothérapeute de l’assurance ne voulait pas du gabarit du véhicule que nous souhaitions aménager. Nous l’avons obtenu.
L’assurance essayait de contester les frais de logement adaptés en nous proposant de prendre en charge les seuls mètres carrés supplémentaires. Nous avons obtenu ce que nous voulions.
Une fois obtenu tout ce que nous souhaitions en cours de l’Expertise, il fallait désormais négocier avec l’assurance.
Comme prévu par la Loi Badinter, l’assurance formulait une première offre à hauteur de 2 Millions 800 000 euros. Étonnant quand on sait qu’il avait été dit, avant que l’avocat préjudice corporel et toute son équipe ne débarquent dans le dossier, qu’il faudrait être heureux d’un million d’euros…
Maître Régley exigeait de l’assureur qu’il vienne à son Cabinet pour discuter de cette offre.
Au bout de quelques heures de négociations et de concessions, une somme de 4 millions 500 000 était actée.
Sans avocat, Mme L.V n’aurait pas eu cette somme. Sans médecin conseil, elle n’aurait pas eu cette somme. Sans ergothérapeute, elle n’aurait pas eu cette somme.
On comprend mieux pourquoi les assureurs disent aux gens de ne pas prendre d’avocats….
Affaire Mme C.M (homicide involontaire) :
Quand le Cabinet permet de multiplier par 8 l’indemnisation.
Résumé de la négociation :
Avant avocat Régley : 100 000 euros
Après avocat Régley : 800 000 euros.
Qui est la victime ?
Madame C.M est une femme de l’Est de la France qui a eu la douleur de perdre son conjoint dans un accident de la route.
Pendant des mois, accompagnée d’un conseil réputé pour son engagement personnel contre les « chauffards », elle était confrontée à un assureur adverse qui lui proposait une somme au nom du préjudice moral et une somme ridicule au nom du préjudice économique.
Pour savoir ce que sont le préjudice moral et le préjudice économique, vous pouvez vous rendre sur cette page concernant l’homicide involontaire.
Conformément à la Loi Badinter, régissant l’indemnisation des accidents de la route, l’assurance adverse lui opposait les fautes de conduite prétendument commises par son conjoint pour diminuer par 10 son indemnisation.
Rappelons ici que les fautes invoquées par les assurances adverses n’ont qu’un seul but : diviser les indemnités.
Ces fautes doivent être discutées. Leur lien avec la survenance de l’accident doit être vérifié.
Le premier conseil de la victime et l’avocat de l’assurance n’arrivaient pas à trouver d’accord.
Ce que l’avocat de votre indemnisation a apporté ?
Mme C.M a contacté l’avocat en accident de la route à Lille alors qu’elle habite à des centaines de kilomètres.
Elle avait vu, sur les réseaux sociaux et sur Internet, que Maître Régley avait obtenu de belles décisions sur des questions de préjudice économique.
Par ailleurs, elle avait compris que Maître Régley l’aiderait dans son combat.
En effet, Maître Régley connaît parfaitement le droit routier. Il sait comment faire annuler des contraventions ou des procès-verbaux.
Dès lors, l’avocat indemnisation homicide involontaire prenait contact avec l’avocat adverse et démontait, une à une, les fautes prétendues du conducteur. Il joignait à sa démonstration des jugements personnellement obtenus partout en France.
Très rapidement, l’avocat indemnisation Lille se rendait au Cabinet de l’avocat adverse.
Alors qu’une somme de 100 000 euros était envisagée au départ, Maître Régley repartait à Lille avec plus de 800 000 euros pour sa cliente au titre du préjudice moral et du préjudice économique.
Il avait réussi à démontrer que seule une faute, et non toutes celles reprochées à la victime, pouvait être opposée.
Rappelons que le préjudice économique consiste en la perte de revenu occasionnée par le décès du conjoint. Il appartient à l’avocat, après avoir écarté les fautes de la victime et procédé à des calculs compliqués, d’obtenir des sommes compensant, pour le foyer composé des enfants et du conjoint, cette perte.
Cette affaire démontre qu’il est très intéressant d’avoir un avocat pratiquant le droit des victimes et le droit routier. La connaissance des arguments invoqués de l’autre côté permet à votre avocat indemnisation du préjudice corporel à Lille, dans les Hauts-de-France (mais exerçant aussi pour des victimes hors de sa région comme nous venons de le voir), de mieux les contrer.
Affaire Mme S.H (homicide involontaire) :
Encore un dossier de préjudice économique obtenu de haute lutte à Béthune et Douai
Retrouvez cette affaire en vidéo ici :
Résumé de la décision :
Avant avocat Régley : pas de préjudice économique propose
Après avocat Régley : + de 500 000 euros.
Qui est la victime ?
Madame H est maman de 3 enfants. Il y a quelques années, son mari motard était percuté par une voiture. Il perdait la vie.
C’est donc bien une femme et ses 3 enfants qui sont victimes dans ce dossier.
Dans un premier temps, perdue face à la situation, Mme H s’en était remise à un autre Cabinet. L’indemnisation était refusée par l’assurance adverse puisqu’il était dit que le défunt avait commis une faute (il aurait roulé trop vite) ayant occasionné l’accident mortel.
L’assurance, conformément à la Loi Badinter, démontrait, Expertise à l’appui, que la vitesse avait été telle qu’elle avait occasionné l’accident, qui n’avait pu être évité par l’auteur présumé.
L’audience devant le Tribunal correctionnel était un moment attendu par Mme S.H et ses enfants. La déception était immense lorsque, pour des raisons de droit, la personne ayant causé la mort du défunt était relaxée…
Elle décidait de changer d’avocat et d’appeler Maître Antoine Régley, avocat indemnisation homicide involontaire. Elle espérait, après avoir entendu parler de lui pour ses qualités de plaidoiries, qu’il serait le bon avocat pour convaincre la Cour d’Appel que la faute reprochée à son défunt mari ne pouvait pas la priver, elle, et ses 3 enfants, d’une indemnisation.
Ce que l’avocat de votre indemnisation a apporté ?
Dans un premier temps, Maître Régley devait expliquer à Mme S.H qu’il lui était impossible de faire appel de la décision de relaxe. Seul le Procureur le pouvait.
Il était donc important, pour votre avocat homicide involontaire, d’accompagner humainement Mme H et les trois enfants face à cette énorme déception.
Dans un second temps, il a fallu démontrer en quoi le défunt n’avait pas commis de faute de conduite. Une expertise avait démontré, par des calculs présentés comme infaillibles, que Monsieur H avait circulé trop vite, occasionnant l’accident.
Encore une fois, la Loi Badinter se retournait contre les victimes qui se voyaient opposer les fautes du défunt pour diviser par deux ou plus les sommes dues au titre du préjudice moral et économique.
Aussi, Maître Régley a-t-il démontré que la vitesse retenue ne pouvait pas être acquise dès lors que n’avaient pas été prises en compte certaines informations dont la quantité d’essence présente dans la moto.
Maître Régley réussissait à convaincre la Cour d’Appel de l’impossible retenue de l’expertise. Par ailleurs, il n’était pas démontré que la faute prétendue de vitesse eût été la cause de l’accident. Autrement dit, il n’était pas démontré que, sans cette vitesse, l’accident n’aurait pas eu lieu.
Une fois cela acquis, l’avocat indemnisation homicide involontaire présentait à la Cour d’Appel de Douai les calculs lui permettant de faire condamner l’assurance à des sommes importantes pour Mme H et ses enfants.
Un préjudice moral était évidemment retenu.
Un préjudice économique était également indemnisé. En effet, le défunt travaillait. Il apportait donc, au foyer constitué du couple et des enfants, un revenu dont chacun profitait.
Son décès a eu pour conséquence économique de laisser les enfants et Mme S.H dans une situation très compliquée, aucun revenu n’étant apporté, Mme H se consacrant à l’éducation de ses enfants.
C’est pour indemniser cette perte de revenu, et afin que nul ne souffre de conséquences économiques qui s’ajouteraient aux douleurs morales évidentes, qu’il est indispensable de solliciter un préjudice économique, souvent compliqué à chiffrer sans assistance d’un avocat dont c'est la discipline.
Résumé
Cette affaire démontre qu’il est très intéressant d’avoir un avocat pratiquant le droit des victimes et le droit routier. La connaissance des arguments invoqués de l’autre côté permet à votre avocat indemnisation du préjudice corporel à Lille, Hauts-de-France, de mieux les contrer.
Lorsque la faute de la victime est reconnue, cela peut avoir pour conséquence l’absence totale d’indemnisation pour les enfants ou le conjoint survivant, situation atroce à vivre.
Il est nécessaire de se battre contre les évidences ou les conseils d’assurance.
Par ailleurs, il est indispensable de ne pas se « contenter » du préjudice moral qui, en droit français, est très mal indemnisé. Il convient d’aller chercher le préjudice économique pour permettre aux enfants et au conjoint de n’avoir pas à subir des conséquences financières désastreuse qui s’ajoutent à un chagrin déjà inconsolable.
Affaire Mme A.H (blessures involontaires) Dunkerque
Résumé de la négociation :
Avant avocat Régley : environ 200 000 euros
Après avocat Régley : 313 000 euros
Qui est la victime ?
Madame A.H est une jeune femme qui exerçait enfin le travail de ses rêves, pour lequel elle s’était longuement battue.
Quelques jours après sa prise de fonction, elle était victime d’un accident de la route.
Dans un premier temps, elle pensait que les conséquences seraient minimes. Au bout de quelques jours, les douleurs étaient intenses. Elle devait se mettre en arrêt de travail.
Rapidement, l’assurance adverse prenait contact avec elle afin de mettre en place une expertise. Il lui était dit qu’il n’était pas besoin d’un avocat, que ces séquelles seraient indemnisées en fonction d’un barème.
La première expertise passait. Madame A.H décidait de prendre un avocat, estimant que l’Expert avait minimisé ses douleurs et séquelles.
L’Expert semblait indiquer à la victime qu’elle pourrait reprendre une activité professionnelle et indiquait que certains handicaps présentés par la victime ne provenaient pas de l’accident mais d’antécédents, voire même de son poids…
Elle sortait de l’Expertise en larmes et craignait de se « faire avoir ».
Après que plusieurs personnes lui ont conseillé d’appeler Maître Antoine Régley, avocat indemnisation du préjudice corporel Hauts-de-France, la victime prenait contact avec lui. Rendez-vous était rapidement pris.
Ce que l’avocat de votre indemnisation a apporté ?
Dès le premier rendez-vous, Maître Antoine Régley, avocat indemnisation Dintilhac expliquait à la victime qu’elle devait avoir des provisions couvrant, notamment, les pertes de gains qu’elle subissait.
Il était également décidé de faire venir, à la prochaine Expertise médicale, l’un des médecins avec lequel travaille le Cabinet.
En quelques semaines, plusieurs milliers d’euros étaient versés à titre de provision. Cela permettait également de payer les honoraires du médecin.
Lors de l’Expertise, l’avocat indemnisation du préjudice corporel et son médecin passaient au crible toutes les séquelles de la victime.
Le médecin de l’assurance finissait par admettre l’intégralité des séquelles et finissait par admettre, devant le travail remarquable du médecin conseil Dintilhac, que les séquelles avaient un impact sur le travail de la victime.
L’incidence professionnelle Dintilhac était reconnue. Mieux encore, le couple « avocat-médecin » obtenait qu’il soit marqué que la victime aurait droit à une assistance par tierce personne jusqu’à la fin de sa vie.
Au bout de quelques semaines, après que Maître Régley a formulé une première demande chiffrée à l’assurance, cette dernière envoyait une offre à la victime, sans la faire parvenir à l’avocat… cette manière de faire est scandaleuse et laisse croire que tout a été fait pour que la victime accepte cette offre qui était…trop basse.
Près de 200 000 euros étaient proposés (déjà plus que ce qui était envisagé dès le départ).
Après entretien avec l’assurance, l’avocat indemnisation blessures involontaires Dintilhac obtenait la somme de 313 000 euros.
Cette affaire démontre plusieurs choses :
Les assurances préfèrent qu’il n’y ait pas d’avocat pour présenter des offres « basses » ;
En l’absence de médecin et / ou d’avocat, les expertises peuvent oublier nombre de préjudices ;
L’intervention d’un médecin expert et d'un avocat du préjudice corporel de l’indemnisation Dintilhac permet évidemment d’obtenir des sommes supérieures afin que justice soit faite ;
Les frais d’avocat et de médecin conseils sont payés par l’assurance adverse.
Affaire M T.M (blessures involontaires) : Quand l’intervention de l’avocat fait augmenter l’offre de l’assurance après expertise
Résumé de la négociation :
Avant avocat Régley : 233 000 euros
Après avocat Régley : 405 000 euros
Qui est la victime ?
Monsieur T.M est un jeune homme très sportif, plein de vie, plein d’ambition professionnelle.
Il était victime d’un accident de la route qui lui occasionnait un plexus brachial.
Dans un premier temps, il décidait de faire sans avocat, bien encouragé par l’assurance qui lui disait que cela lui coûterait cher et que cela ne servirait pas à grand-chose.
Première expertise était diligentée. La victime était consolidée. Aucune nouvelle expertise n’était prévue.
Monsieur T.M recevait une offre de l’assurance.
A première vue, il pensait qu’elle était raisonnable puisqu’il était indiqué qu’il aurait le droit à quelques heures d’aide par tierce personne et qu’il existait une incidence professionnelle.
Cependant, devant les résultats obtenus par Maître Antoine Régley, avocat indemnisation du préjudice corporel, il décidait de lui soumettre la proposition de l’assurance.
Ce que l’avocat de votre indemnisation a apporté ?
En quelques minutes, Me Régley expliquait à Monsieur T.M qu’il se faisait « berner ».
En quelques semaines, après intervention de l’avocat préjudice corporel, plusieurs éléments importants, qui n’avaient pas été envisagés, étaient retenus. Tout ce qui devait faciliter la vie quotidienne de la victime était demandé et accepté (une boîte automatique, des commandes au volant, des toilettes japonaises, des volets électriques, etc.
L’offre passait de 233 000 euros à 405 000 euros, soit une augmentation de près du double.
Cette affaire démontre plusieurs choses
- Un avocat fait quasiment toujours augmenter les offres de manière significative ;
- Nous pouvons négocier même si nous arrivons à la fin de la procédure ;
- L’avocat en dommage corporel pense à toutes les choses qui vont améliorer le quotidien des personnes handicapées.
Affaire Mme C.V (homicide involontaire). Quand l’intervention de l’avocat fait passer l’offre de 130 000 euros à 447 000 euros. Exemple de préjudice économique.
Résumé de la négociation :
Avant avocat Régley 130 000 euros
Après avocat Régley : 447 000 euros
Qui est la victime ?
Mme C.V a subi la perte de son mari dans un accident de la route. Il était cycliste.
Outre l’immense souffrance morale qu’elle ressentait, elle devait également subir des soucis économiques importants en lien avec ce drame.
Son mari contribuait aux charges du mariage et de la famille. Du jour au lendemain, Madame C.V devait faire face aux factures de la vie courante avec son seul salaire.
Pendant plusieurs mois, l’assurance ne lui donnait aucune nouvelle avant de lui proposer une somme totale de 120 000 euros.
Ce que l’avocat indemnisation homicide involontaire a apporté ?
Conseillée par plusieurs amis proches, Mme C.V demandait des conseils à Me Antoine Régley, avocat homicide involontaire, qui la recevait gratuitement.
Il lui expliquait que le préjudice économique était bien plus important que celui qui était évoqué par l’assurance. En réalité, cette dernière ne prenait pas les bons chiffres et faisait une application très contestable des tables de capitalisation, en violation complète de la nomenclature Dintilhac.
Mme C.V donnait donc mandat à Me Régley, avocat indemnisation homicide involontaire, afin de négocier avec l’assurance.
En quelques semaines, et après quelques entretiens délicats avec la compagnie, Me Régley augmentait de plus de 300 000 euros l’indemnisation proposée.
Une fois encore, Me Régley obtenait de l’assurance ce qu’elle aurait dû, d’elle-même, proposer à l’épouse de la victime.
Ces sommes ne permettent pas à la famille de s’enrichir. Elles visent à compenser les pertes de revenus subies par le conjoint survivant. Elles sont proportionnées au salaire du défunt, à l’âge, au nombre d’enfants, etc.
Cette affaire démontre plusieurs choses
- Les assurances préfèrent qu’il n’y ait pas d’avocat pour présenter des offres « basses » ;
- En l’absence d’avocat, Madame C n’aurait pas été en mesure de payer toutes les factures et sommes engagées par son couple ;
- Les honoraires de l’avocat sont pris en charge par l’assurance ou par votre protection juridique.
Affaire M. G.B (blessures involontaires). Plus de 200 000 euros obtenus quand la partie adverse demandait à ce que les sommes allouées soient inférieures à 50 000 euros.
Résumé de la négociation :
Avant avocat Régley 50 000 euros
Après avocat Régley : 200 000 euros
Qui est la victime ?
M. G.B était un militaire dévoué et brillant. Il servait en opération extérieure.
Il était victime d’un accident de la route. Il devait renoncer à la continuité de son rêve. Il était réformé.
Dans un premier temps, il décidait d’engager des procédures seul. Il était reçu par le médecin Expert de l’Assurance. A la réception du rapport de non consolidation, il craignait de voir ses souffrances et les conséquences de son accident ne pas être prises en considération.
La faiblesse des provisions accordées par l’assurance l’encourageait à en parler à son entourage et à ses amis. On lui conseillait de consulter Me Régley car il donnait des consultations gratuites et parce qu’il démontrait, par ses publications, les résultats qu’il obtenait pour les victimes d’accident de la route.
Ce que l’avocat indemnisation préjudice corporel Dintilhac a apporté ?
Me Régley, avocat indemnisation accident de la route, expliquait la situation à Monsieur G.B.
L’assurance qui lui faisait face était l’une des plus récalcitrantes : quasi-impossibilité d’avoir des interlocuteurs en ligne, faiblesse des propositions indemnitaires…
Par ailleurs, M.B avait retrouvé une activité professionnelle, ce qui rendait plus difficile une demande de pertes de gains.
Avant l’expertise de consolidation, Me Régley expliquait qu’il serait bien d’être accompagné par son médecin. Monsieur B hésitait. Ses revenus étant faibles, il ne pouvait pas faire face à une telle dépense. Me Régley lui expliquait que la facture du médecin serait remboursée par l’assurance.
L’apport de ce médecin était significatif. L’Expertise devenait bonne – en tous cas juste.
L’assurance proposait une somme ridicule, ne dépassant pas les 50 000 euros.
Me Régley était donc contraint de demander au Tribunal de statuer. L’avocat en préjudice corporel prenait des conclusions, longues, techniques, argumentées sur le rapport Mornet et la nomenclature Dintilhac.
Le conseil de l’assurance demandait à ce que les sommes allouées ne dépassent pas 50 000 euros.
Au final, c’est un peu plus de 200 000 euros – y compris les frais d’avocat et de médecin – que Me Régley, avocat indemnisation du préjudice corporel, obtenait pour son client qui devenait gérant d’une salle de sport.
Cette affaire démontre plusieurs choses
- L’apport d’un médecin conseil, spécialisé dans le dommage corporel et la nomenclature Dintilhac ;
- Les frais d’avocat et de médecin conseil sont remboursés par l’assurance adverse. C’est prévu par Dintilhac ;
- Monsieur a obtenu plus de 4 fois ce que l’assurance lui proposait. Même si cela a duré, la procédure devant le Tribunal était la bonne solution ;
- Me Régley ne s’arrête pas à la première difficulté.