A quelles sommes avez-vous droit ? (chiffrage et analyse gratuite)
Plusieurs études et expériences ont démontré que, face à une victime sans avocat expérimenté en la matière, les assureurs proposent jusqu’à 25 % de moins.
Le cas de l’indemnisation de proches dans le cas d’un homicide involontaire est traité ici.
Dans la rubrique « résultats » que vous pouvez consulter ici, Me Régley démontre que son intervention a fait multiplier par 2,3,4, parfois 10, l’indemnisation proposée par les assureurs.
Ces derniers, qu’ils soient votre compagnie ou adverse ont un but : payer le moins possible.
L’assureur n’est pas un allié. Dès lors que c’est à lui de payer, cela devient un adversaire. Avec qui l’on peut négocier. Avec qui l’on peut transiger. Avec qui l’on peut discuter. Avec qui l’accompagnement peut se faire en toute courtoisie. Mais cela reste le payeur, donc l’adversaire.
Pour savoir la somme à laquelle prétendre au titre de l’indemnisation, cela réclame de connaître, au préalable, nombre d’information sur votre situation personnelle, professionnelle etc…
Aucun dossier n’est semblable à un autre. Sur le papier, deux victimes peuvent avoir le même pourcentage de séquelles (qui s’exprime en pourcentage – c’est le DFP), et avoir des indemnisations très différentes.
Pourquoi ? Car elles n’ont pas la même profession par exemple. Du coup, la perte de salaire n’est pas la même. Car elles n’ont pas le même âge par exemple. Plus la victime est jeune, mieux elle est indemnisée.
Pour un premier chiffrage et pour envisager une fourchette, Me Régley vous propose une analyse gratuite et complète de votre dossier.
En quelques jours, après avoir pris connaissance de plusieurs informations qu’il vous demandera, et avoir soumis à son équipe les éléments médicaux que vous lui aurez donnés, Me Régley pourra vous dire ce que vous pourrez réclamer.
Pour compléter cette première étude, et effectuer une analyse poussée d’un chiffrage, il faut évidemment passer par une expertise médicale. C’est elle qui permettra de répondre à tous les postes de préjudices que vous trouverez ci-dessous et qui sont très largement expliqués ici.
Cette expertise est un moment crucial. Il faut s’y préparer, ce que nous faisons avec l’aide de nos médecins et professionnels de la réparation du préjudice corporel.
Vous trouverez ici des développements sur l’Expertise
Vous trouverez ici des développements sur notre équipe de professionnels
Je suis donc là, avec mon équipe de professionnels de l'indemnisation et de la nomenclature Dintilhac (médecins, ergothérapeutes, ancien inspecteur d’assurance), pour que personne n’oublie le moindre centime (assureur ou Tribunal) et que vous ne soyez pas victime une seconde fois.
Les juridictions, les assurances et les Experts se réfèrent à une « liste », à une « échelle », appelée « nomenclature Dintilhac » du nom du Magistrat qui l’a mise en place.
Cette nomenclature est LA référence sur laquelle tous les professionnels s’appuient.
Je la connais parfaitement et la manie au quotidien.
Cette nomenclature est LA référence sur laquelle tous les professionnels s’appuient.
Je la connais parfaitement et la manie au quotidien.
Dans de nombreuses affaires, ce sont des dizaines de milliers d’euros, parfois des centaines de milliers, parfois même des millions qui sont obtenus.
De manière schématique, l’on peut retenir plusieurs catégories :
1 - Préjudices patrimoniaux temporaires
- Les dépenses de santé actuelles (elles ne sont pas toujours toutes remboursées par la sécu ou la mutuelle)
- Les pertes de gains professionnels actuels (gros enjeux. Perte de salaires, perte de primes…)
- Les préjudices scolaires, universitaires ou de formation
- Frais divers (frais d’experts, frais d’avocat …)
2 - Préjudices patrimoniaux permanents
- Les dépenses de santé futures (très gros enjeux. Fauteuils, prothèses etc…)
- Les pertes de gains professionnels futurs (très gros enjeu. Ce sont les salaires que vous ne percevrez plus ou la différence de salaire que vous perdez, jusqu’à l’âge de la retraite)
- L’incidence professionnelle (gros enjeux. Même si vous pouvez reprendre le travail, vos conditions ne sont plus les mêmes ? Peut-être même ne pouvez-vous plus exercer le même métier)
- Frais d’aménagement de logement (très gros enjeux. Le handicap nouveau vous oblige à faire des travaux dans votre maison, à en acheter une autre, à en construire une autre. Ce sont des dizaines, voire des centaines de milliers d’euros)
3 - Préjudices extrapatrimoniaux temporaires
- Le déficit fonctionnel temporaire (gros enjeux. Cela indemnise votre incapacité, votre handicap, tout le temps de la consolidation des blessures)
- Les souffrances endurées (douleurs et préjudice moral. Cela peut chiffrer en dizaines de milliers d’euros)
- Préjudice esthétique temporaire (cicatrices etc...)
4 - Préjudices extrapatrimoniaux permanents
- Déficit fonctionnel permanent (très gros enjeux. C’est le taux d’incapacité et/ou de handicap que vous présentez à vie. Cela peut représenter des centaines de milliers, voire des millions d’euros)
- Préjudice esthétique permanent
- Préjudice d’agrément (les loisirs notamment que vous ne pouvez plus faire etc...)
- Préjudice sexuel
- Préjudice d’établissement (gros enjeux)
- Préjudices permanents exceptionnels
Sans avocat, vous n’aurez pas les sommes auxquelles vous avez pourtant droit.
Être assisté est primordial pour plusieurs raisons :
- L’assurance augmentera toujours son offre d’indemnisation en sachant qu’un avocat s’occupe de vous. La « peur » que l’avocat aille devant les juridictions, censées être plus généreuses, pèse sur l’assureur lorsque la victime est assistée
- L’avocat connaît parfaitement tous les postes de préjudices indemnisables et pourra donc demander aux Experts de se prononcer sur tous ces « postes ». Quand il n’y a pas d’avocats, l’Expert ne se prononce pas forcément sur tous les postes
- L’avocat peut entamer des actions en justice si la proposition de l’assurance n’est pas satisfaisante
- L’avocat vous assiste à l’Expertise pour que rien ne soit oublié
- L’avocat dispose d’une équipe de professionnels médicaux, partenaires du Cabinet, qui vous assiste pour que l’Expertise soit la plus complète possible
Je suis là pour que vous ne soyez pas victime une seconde fois.
Je suis disponible pour vous éclairer dans un premier entretien téléphonique.
Pourquoi un avocat ?
A la suite d'un accident de la route, constate-t-on des différences d'indemnisation importantes selon qu'un avocat est présent ou non ? Découvrez-le en regardant cette interview de Maître Antoine Regley diffusée par la chaîne BFMTV pour l'Ordre des Avocats .